l’éloge de la péripherie
Buenos Aires, Argentine, XIX siècle.
Des migrants venants des recoins les plus inattendus d’Europe s’installent dans les faubourgs de la capitale.
Les nouveaux arrivants s’imprègnent de la diversité.
Les langues se mélangent dans un nouvel argot.
Les musiques s’entrecroisent et conçoivent le tango.
Les cultures fusionnent et donnent naissance à L’ARRABAL.
Quartier cosmopolite, il devient concept, force sociale.
La vague se répand, Buenos Aires ne sera plus jamais la même.
Arrabal est le mot qui nous définit et nous identifie, qui résume notre foi dans tout ce qui, dans notre civilisation, reste à l’écart. Ces périphéries portent en elles le potentiel pour investir et redéfinir l’identité même du territoire.